BOLBOLO

" J'étais loin de savoir ce que je vois clairement aujourd'hui.

De la connivence des capitales à la connivence des classes

l'art est identique à l'art dans son essence même."

Les hélicoptères accompagnent les matériaux

De l'image à l'industrie,

Anus trielle, anus Déi

Quand le capitalisme industriel travail.

il créé un style pour les saisons néo-capitalistes.

Joie !

La valeur d'échange propose aux multinationales des Machines essentielles et potentiellement catastrophiques.

C'est sur cette base que j'ai peinds l'anus de Dieu, l'autre origine du monde, celle qui tend vers sa finition.

La Gauche notre destin d'intéret, ne nous y trompons pas a des exigenges trés minimales.

Et ne permet pas de proposer les ressources nécessaires d'une Alternative.

Le pouvoir des services évidemment fait mal.

Les supermarchés en tous genres ont des relations extravagantes avec leur personnels

Le travail est si mauvais que sa tension nerveuse échappe au bulletin de paye,

Comme réellement, jamais les écrivains se sont popérisés, la dégradation de la pensée par le langage est réelle.

Dans ce contexte le recours à l'auto-suffisance tribale n'est pas un refuge mais une tactique de subsitance quotidienne.

L'Hyper-humanité est la transgression, je pense aux maître fous de Jean Rouch, ces hommes qui entrent en transe tout seul dans leurs oppresseurs.

Imaginer Holderlin américain, il jouerait un rôle incontestable dans les mouvements tribaux immanents.

Oui, sans aucun doute. Je constate que par rapport à tous les Brechts occidentaux la pauvreté planétaire a mis l'accent sur quelques-uns. Sur ceux qu'on veut, sur ceux qu'on tord, sur ceux qu'on toujours eut raison d'être vaincus.

Seuls les plus pauvres ont créé quelque chose de vitale. Le contre-champs c'est l'autre.

J'ai rêvé hier que la défaillance économique industrielle serait spontanné,

L'argent soumis à une métamorphose, la mutation du capital en unité de compostage.

C'est pourquoi la question artistique que je formule est mon problème principal de maintenant :

L'exposition n'est plus exposable, elle n'est plus le lieu de l'artiste

Je dirais même qu'elle est devenu le lieu où l'oeuvre n'est plus crédible.

Pourtant il existe toujours un territoire où elle l'est.

Nous devons la rejeter et l'ajourner jusqu'à ce que nous puissions construire un nouveau lieu pour lui redonner sa crédibilité, c'est une urgence.

Le filmique et le sonore en est un.

La dimension intégratrice du film et du son est d'englober tous les domaines, y compris celui de la plastique qui englobait ceux de la pratique, de l'action et de la vie avant de se suffire aux objets.

L'exposition a tellement était exploitée que l'on doit exiger d'elle d'exposer sa fonction.

Justement, c'est au filmique et au sonore qu'échoient cette tâche, si elle consiste à renverser cette énorme scénographie du vide.